Parmi les diverses cuisines méditerranéennes les plus connues, nous pouvons citer les cuisines italienne, grecque, espagnole. En France, la meilleure ambassadrice de la cuisine méditerranéenne est la cuisine provençale. Chacune de ses cuisines dispose de sa propre richesse culinaire et participe à la réputation de la cuisine méditerranéenne dans son ensemble
Champs d'oliviers à perte de vue, vignes baignées de soleil, bon air de la mer... Les rivages de la Méditerranée sont des terres bénies des dieux. Les gens du Sud savent privilégier l'instant présent et cultiver le sens des petits plaisirs simples, comme ceux de la table. Quelques gouttes d’huile d’olive vierge extra : dans une purée de pommes de terre, sur des pâtes al dente ou des légumes vapeur, dans une bonne soupe de légumes un soir d'hiver, pour parfumer un carpaccio de viande ou de poisson cru, sur une tranche de pain grillé, sur une tomate à la croque-au-sel, sur un filet de poisson grillé, avec des desserts (fromages blancs au miel et à l'huile d'olive vierge extra , salade d'oranges, glace, mini-crêpes à la fleur d'oranger et à l'huile d'olive vierge extra
L’huile d’olive vierge extra occupe une place vitale dans la cuisine méditerranéenne. Prête à accommoder féculents, salades, accompagner la cuisson des viandes, elle se déguste aussi directement à l’aide d’un morceau de pain, parfois grillée. Les valeurs diététiques de l’huile d’olive vierge extra se répercutent sur de nombreuses spécialités de la cuisine méditerranéenne. La cuisine méditerranéenne apprécie beaucoup les légumes. En accompagnement de viandes ou de poissons, en salades ou en plats chauds complets, les légumes participent à de nombreux plats. Découvert par les conquistadors, la tomate s’est répandue rapidement, par l’Espagne, et Italie sur une grande partie du pourtour méditerranéen.
Si certains plats sont complexes à préparer, d’autres exaltent en quelques secondes toutes les saveurs de le cuisine méditerranéenne. Servez quelques pâtes garnies d’un filet d’huile d’olive vierge extra, saupoudrées de basilic haché, éventuellement accompagnées de dés de tomates, et vous offrez à vos invités un plat simple qui exalte toutes les saveurs de la Méditerranée.
La cuisine méditerranéenne accorde une importance particulière aux saveurs franches et à la fraîcheur des ingrédients. Elle évite également les portions copieuses, préférant faire ressortir toute sa richesse à travers les petits plats. Pour mettre votre menu en valeur à l’aide de la cuisine méditerranéenne, vous devez accorder une grande importance aux ingrédients qui la compose. Voici quelques-uns des ingrédients que privilégie cette cuisine :
Céréales et pâtes, notamment le couscous et le riz
Fruits frais et séchés tels que les dattes et les abricots
Noix, telles que les amandes
Viandes maigres et poissons grillés – servis avec des aubergines et des courgettes grillées
Huile d’olive vierge extra , le principal corps gras utilisé dans la cuisine méditerranéenne. La cuisine méditerranéenne, qui accorde une grande importance aux fruits et légumes frais, aux fruits à coque, aux herbes, aux grains et au poisson, est l’une de celles que je préfère, sans compter qu’elle est excellente pour la santé. Cependant, la cuisine méditerranéenne ne se définit pas seulement par ses ingrédients. C’est aussi une manière de manger et de vivre : les Méditerranéens accordent beaucoup d’importance aux repas conviviaux où l’on prend le temps de manger et de se détendre. Or, il se trouve que les chercheurs confirment les bienfaits de cette philosophie : passer du temps à table en compagnie des membres de sa famille ou d’amis, c’est bon pour la santé
Pour vraiment bénéficier des biens faits de ce régime alimentaire, il faut de la disponibilité et la maîtrise de principes de cuisine simples mais indispensables. En effet, il y a toujours un certain temps de préparation et/ou de cuisson, pour la réalisation de menus variés et optimisés.
Le secret de cette cuisine c’est la diversité des produits frais et végétaux qu’elle emploie. Elle est plus saine, plus adaptée à l’organisme et apporte une réelle diversité des éléments nutritionnels indispensables dont notre corps à besoin pour être en bonne santé, sans plus, ni moins.
La cucina mediterranea, per le sue tante ricette adatte ad ogni palato e occasione, ha una storia complessa che corre parallela a quella delle genti che hanno vissuto sulle sponde di un mare che ha sempre unito invece di dividere. Unica al mondo, la cucina mediterraneo presenta caratteri di fondo unitari anche in aree abitate da popolazioni con culture totalmente diverse.
Se si esamina nel dettaglio il ricchissimo ricettario ci si accorge che tantissime preparazioni differiscono fra di loro solo nel nome e per qualche ingrediente secondario, variazioni dovute, solo a motivi di reperibilità o economicità. Nonostante ciò, le cucine tradizionali che si affacciano nel Mediterraneo conservano evidenti individualità, frutto di usanze e costumi ricollegati spesso a ritualità religiose.
Il bacino del Mediterraneo è un’ampia depressione circondata da montagne, con strette pianure fertili dove prevale un suolo montagnoso, spazio più favorevole alla pastorizia transumante (ovini e caprini) che all’agricoltura e all'allevamento permanente (bovini). Tre grandi penisole e un insieme di isole dividono in compartimenti le sue acque facilitando la navigazione, la pesca e il commercio. Fin dal Neolitico, le rive del Mediterraneo hanno costituito la meta migratoria di popoli provenienti dall’Asia, dall’Africa e dall’Europa, che qui hanno cercato condizioni di vita migliori, contribuendo all’arricchimento comune. In queste acque si svilupparono fiorenti commerci di alimenti. Oltre a derrate non deperibili come cereali, legumi secchi, olio d’oliva e vino, erano tanti i prodotti scambiati.
Sappiamo per esempio che nel periodo del Medio Regno (dopo il 2000 a.C.) l’Egitto importava dalla Grecia grossi quantitativi di “sheba”, licheni che venivano utilizzati per la panificazione. La terra dei faraoni a sua volta esportava nella penisola italica oltre ad ingenti quantità di grano anche intere navi delle sue pregiatissime cipolle (le rosse chiamate ancora oggi egiziane).
Importante per il processo di diffusione capillare della cucina mediterranea fu il ruolo svolto dai marinai, che nel tempo scambiarono le proprio conoscenze alimentari con quelle delle nuove genti conosciute. Così nonostante una certa tendenza a conservare gelosamente intatte le proprie tradizioni, la cucina mediterranea a saputo sempre integrare perfettamente un buon numero di prodotti alimentari completamente estranei.
Ieri come oggi i cardini di questa cucina sono cereali (pane) , vino e olio; ingredienti acidificanti e antisettici quali aceto (paesi cristiani) e limone (paesi mussulmani), erbe aromatiche o spezie (dosate diversamente a seconda delle latitudini), aglio, cipolla, pepe e peperoncino.
Il percorso della costruzione storica dalla cucina mediterranea potrebbe avere avuto inizio dalla cultura greca, che influenzò profondamente quella etrusca e romana (pane, vino, olio).
Tra il V e XIV sec. in questo modello gastronomico, rafforzatosi durante il Cristianesimo, si integrarono:
- le tradizioni germaniche dell'uso massiccio di carne (soprattutto maiale) e grassi animali;
- gli usi della corte di Costantinopoli ;
- le nuove tecniche agricole e i prodotti giunti dai territori islamici, quali zucchero, riso, arance, limoni, albicocche, melanzane e spinaci. Arabi e saraceni proponevano inoltre in modo meno esclusivo l’utilizzo delle spezie (zafferano in primis), dell'agrodolce, delle mandorle (marzapane), introducendo anche l’uso della pasta secca.
La corte europea di Federico II fu forse quella che rappresentò meglio l'integrazione fra oriente e occidente.
Il ritrovamento di numerosi “Tacuinum sanitatis” (almanacchi medioevali di dietetica) e di ricettari (sec. XV) indica chiaramente questa cultura degli scambi, nella quale compaiono preparazioni simili ma interpretate alla genovese, alla catalana, alla tedesca.
Poi, con la scoperta delle Americhe, la cucina mediterranea fece suoi prodotti quali pomodoro, patata, mais, fagioli, cacao o peperoncino, ancora oggi onnipresenti sopra le tavole contemporanee.
