Viterbo

Viterbo a continué à attirer des visiteurs de tout le monde, non seulement comme l'étape obligée sur le chemin Francigena que le Inghilterra, par la France, a porté les pélerins à Rome vers Tomba di San Peter, mais parce que la réputation des miracles d'un enfant de Saint de Rose nommée, protection de la ville, a attiré près de ses empereurs de monastero, de chefs d'Etat et de personnes de chaque rang. Viterbo doit son importance également à ses eaux sorgive minérales qui jaillissent dehors dans les outskirtses de la ville et du antichità célèbre de fin rendu par hanno pour ses eaux sulphureous qui a alimenté le nombreux terme Etruscan et le romain, dont le ruderi sont dispersés sur le territoire. Actuellement dans la zone thermique de la ville de Viterbo, avec le acqua qu'il jaillit dehors à la source du

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VITERBE (VITERBO)

Le centre historique de Viterbe est encore fermé entre une robuste enceinte de murailles médievales et elle est située sur la Via Cassia, qui la relie avec Rome. Le territoire est mouillé par le Paglia au nord; par le Tevere, qui lui a marqué pour une bonne partie la frontière orientale; et par de nombreux fleuves et torrents tributaires du Tirreno.

 

Tout le territoire de province est de grand intérêt touristique: les localités riches en témoignages étrusques (Tarquinia, Tuscania, Vulci, Sutri, Blera), romaines (comme Ferento), médievales et de la Renaissance (Viterbe, Caprarola, La Civita [Bagnoregio], Bomarzo).

 

Fortifiée par Desiderio, roi des Lombards et puis donnée à l’Église par Pipino (755), au X siècle elle était déjà un centre populeux et prospère qui devint, justement pour ses caractéristiques objet de querelle entre papauté et Empire. D’après les documents de la fin du XI siècle la ville est déjà comme une Commune indépendante. En 1146 le pape Eugenio III trouva réfuge dans cette ville avec la cour papale. En 1164 Viterbe fut le siège de l’antipape Pasquale III partisan du Barbarossa: en effet, au cours de cette phase, en 1167, fut élevée par l’empereur au rang de ville. Après une période de luttes victorieuses contre Ferento, en 1207 par Innocenzo III fut crée chef-lieu du Patrimoine de Saint Pierre, mais un peu plus tard elle fut excommuniée par le pontife même pour avoir accueilli un groupe d’hérétiques patarins.

S’étant rapprochée à nouveau au guelfisme, en 1243 elle résista au siège de Federico II et dès lors elle fut fréquente résidence des papes, et même siège de nombreuses conclaves. Ici furent élus Urbano IV (1261), Gregorio X (1271, par une conclave particulièrement difficile), Adriano V (1276), Giovanni XXI (1276), Niccolò III (1277) et Martino IV (1281). Pendant ce temps-là éclatèrent les luttes de faction à la tête desquelles il y avait les Gatti (guelfes), et les Tignosi (gibelins), auxquels par la suite s’ajoutèrent les Préfets de Vico qui, une fois en contraste autre fois en accord avec les papes, s’emparèrent de la ville dans la première moitié du XIV siècle et ils la dominèrent (mais seulement à phases alternes, parce que chaque fois ils étaient chassés ou exclus par des insurrections ou par les milices du pontife) jusqu’à l’année 1435 quand Giacomo des Préfets de Vico fut décapité par ordre du futur cardinal Giovanni Vitelleschi. Viterbe passa alors hablement sous le pouvoir de l’Église (exceptée la brève période de domination française aux débuts du siècle XIX pendant lequel elle fut chef-lieu du département de Cimino) jusqu’à l’entrée des armées italiennes en 1870.

Elle fut gravement endommagée par les bombardements au cours du second conflit mondial

Le centre historique de Viterbo présente encore un aspect médieval et les monuments résultent parfaitement consérvés.

Les ensembles médievaux les plus importants sont le quartier de San Pellegrino et la Place du Duomo. Parmi les monuments de la période romaine doivent être évoquées la Cathédrale (XII siècle), l’église de San Sisto, qui s’engage avec un effet singulier dans les murailles, les murailles mêmes, l’église de San Giovanni in Zoccoli, Santa Maria Nuova, du Jésus, de plus aux nombreuses maisons et palais (important le palais Alessandri): à l’époque gothique appartiennent les nombreuses, élégantes fontaines, une réelle tradition de la ville, des cloîtres de grande harmonie, différentes églises (San Francesco, Santa Maria della Salute, etc…), le Palais Papal avec la loge voisine, la Maison Poscia.La Renaissance est représentée en peinture par les fresques de Lorenzo da Viterbo à Santa Maria della Verità et en architecture de plus aux nombreuses et différentes églises, parmi lesquelles celle de San Giovanni Battista, par le splendide sanctuaire de Santa Maria della Quercia, riche en oeuvres d’art contemporaines.

Le Musée Civique, recueilli dans le couvent de Sainte Marie de la Vérité (avec un beau cloître gothique), comprend riche matériel préhistorique et surtout étrusque, et une importante pinacothèque, avec oeuvres de Sebastiano del Piombo, Vitale de Bologne, Salvator Rosa et des artistes locaux.

 

Musées

 

Località

Musei

Viterbo

Museo Civico  (ex Convento S. M. della Verità)

Viterbo

Museo della Ceramica  (Palazzo Brugiotti)

Viterbo

Museo della Macchina di S. Rosa

Viterbo

Museo Nazionale  (Rocca Albornoz)

Viterbo

Orto Botanico dell’Università della Tuscia

Acquapendente

Museo del Fiore

Barbarano

Museo (ex Chiesa di S. Angelo)

Bolsena

Museo Territoriale del Lago di Bolsena  (Castello Monaldeschi)

Civitacastellana

Museo Archeologico dell’Agro Falisco  (Forte del Sangallo o Rocca dei Borgia)

Civitacastellana

Museo della Ceramica  (Pallazzo Petroni – Andosilla)

Farnese

Museo Civico

Gradoli

Museo Civico  (Palazzo Farnese)

Grotte di Castro

Museo Civico  (Palazzo del Podestà)

Ischia di Castro

Museo Civico

Nepi

Museo Civico

Orte

Museo Diocesano d’Arte Sacra  (Chiesa di S. Silvestro)

Tarquinia

Museo Nazionale Etrusco  (Palazzo Vitelleschi)

Tarquinia

Etruscopolis

Tuscania

Museo Archeologico  (ex Convento S. Maria del Riposo)

Valentano

Museo della Preistoria della Tuscia e della Rocca Farnese  (Rocca Farnese)

Vasanello

Museo del Castello

Vetralla

Museo della Città e del Territorio

La Gastronomie de la province de VITERBO (de la Tuscia)

La cuisine de la Tuscia, à cause de la position géographique de ce territoire, peut être considérée un mélange réussi des goûts de la cuisine Romaine, des odeurs de celle Toscane et la simplicité de celle de L'Ombrie.

Le plat plus typique est certainement l'Acquacotta. Il est composé de quatre éléments fondamentaux: le pain de campagne rassis, les verdures selvatiques, surtout la chicorée de champ (avec des pommes de terre, tomates et onions), le calament, que lui confert l'odeur caractéristique de cette terre, et l'huile extra-vierge, qu'on ajoute cru au moment de servir en table. Si on en ajoute de la morue sèche, il acquiert les caractéristiques d'un Plat unique idéal , peut-être le chef-d'œuvre de la Cuisine Méditerranée si exaltée. Un autre plat uniquegoûteux et original est la soupe d'agneau (avec des verdures différentes comme les artichots, les pommes de terre, etc.), connue comme "Giubba e Calzoni";tandis que la soupe de poisson de lac, dite "Sbroscia", des entourages du Lac Bolsena, n'a rien à envier à la plus connue soupe de poisson de mer, que l'on prépare si bien le long de la côte tyrrhénienne.

Les premiers plats sont représentés par différentes sortes de pâtes de ménage avec l'eau et la farine de blé, comme les "Lombrichelli", la "Pasta straccia", les"Gnocchi col ferro", les "Gnocchi 'ncotti ou Strozzapreti", suivies par les pâtes aux œufs, qui vont des classiques "Fettucine" avec les différentes sauces, aux "Pappardelle" avec sauce de lièvre, de sanglier ou de champignons, aux "Fieno di Canepina". Le "foin" de Canepina doit sa renommée à sa légèreté particulière, que seules les ménagères de Canepina savent lui donner. Les soupes de légumes (pâtes et haricots, pâtes et pois chiches, riz et lentilles etc.) sont aussi très diffuses, y compris le "Minestrone viterbese" classique et les nombreuses variétés de soupes aux légumes, comme la "Scafata" avec les fèves fraiches, la soupe de pois chiches et châtaignes, plat typique du réveillon de Noël, les "Fagioli con le fette", des haricots avec du fenouil sauvage frais.

Entre les deuxièmes plats à base de viande prédominent ceux préparés avec du lapin ou du poulet, que l'on prépare soit à la poêle ("alla cacciatora") soit au four ("arrosto morto"). On cuisine aussi beaucoup la viande d'agneau au four ou à la braisette,; la viande de porc (voir la fameuse "porchetta") et les entrailles de bœuf ( queue, tripes, fressure). Mais le plat plus caractéristique est la "Pignattaccia": il s'agit d'un daube, cuit au four dans un pot de terre cuite, avec des rognures et entrailles de bœuf et de porc et avec des differents légumes (pommes de terre, céleri, onions, etc.). Le gibier, dont la région de la Maremma etait si riche depuis le temps des Étrusques, est devenu dèshormais une rarité, faite exception pour le sanglier, que l'on trouve facilement aux restaurants de la Maremma du Latium.

Pour les deuxièmes plats à base de poisson, on utilise pour la plupart le poisson des lacs de Vico et de Bolsena: les minuscules "lattarini", les filets délicats, le "coregone", les filets délicats de perche, le brochet et enfin les fameuses anguilles du lac Bolsena, qui non seulement avaient causé la mort du Pape Martin IV, mais une citation dans Le Purgatoire de Dante où Martin se trouve condamné au jeûne éternel. Le long de la côte tyrrhénienne, où existe une tradition de restauration consolidée, l'on peut goûter du poisson de mer exquis, servi en forme de soupe de poisson, friture mixte ou grillé à la braisette.

Parmi les garnitures ("Contorni") d'origine végétale, nous rappelons les quatre-saisons du lac Bolsena, les artichots de la région de la côte, les brocolis, et les nombreuses herbes sauvages, qui composent la savoureuse "Misticanza", connues à Viterbo comme "erbarelle", la chicorée sautée en poêle ("strascinata"), les "Strigoli", avec lesquels on prépares des excellentes omelettes, la bourrache utilisée pour les beignets, les cèpes des Monts Cimini et les champignons du genre pleurotus ("Ferlenghi") de Monteromano et Tarquinia. Les légumes, si utilisés comme garniture, sont normalement saisonnés avec de l'huile d'olive extra-vierge ou en ajoutant des différentes aromates (onnoins, céleri, rosmarin, etc.). Quand on les prépare enrichis avec du gazon de porc, des saucisses ou d'autres viandes, ils représentent un deuxième plat classique, qui peut avoir la fonction de plat unique, surtout de soir. Un discours à part mériteraient les "Carotes de Viterbo", qu'on ne trouve presque plus aujourd'hui. Il s'agissait d'une préparation laborieuse en aigre-doux d'une race de carotes violets, qu'une fois se vendaient en vases caractéristiques de terre cuite et que se mangeaient comme garniture du bouilli.

Parmi les Fromages, excelle celui fait avec le lait de brebis ("Pecorino"), qui, à cause de son goût typique et fort, est recherché par les gourmets pour être mangé avec les fèves crues ou des poires. Quand il est fait, on le grate sur les spaghettis "cacio e pepe" ou "carbonara", les quenelles de purée de pomme de terre et farine "(gnocchi"), les "lombrichelli", la "polenta" avec les "costarelle" de porc, les soupe de légumes, les tripes en sauce de tomates et nombreux autres plats locaux.

Les gateaux plus typiques sont ceux des différentes fêtes: à Noël, à part le "Pangiallo" et le "Pane del Vescovo" (pain de l'évêque), on prépare encore les traditionels "Maccheroni con le noci" (aux noix); à Pâques, sont de nouveau en vogue les "Pizze di Pasqua"; pour Saint Joseph les beignets de riz; à Carnaval les raviolis avec la "ricotta" (similaire au sérac), les "fregnaccie ou frittelloni" (beignets) et les "castagnole" (sorte de petits beignets) à la Sambuca (liqueur) et enfin, aux fêtes des Saints patrons locaux, les classiques "Ciambelle con l'anice", des gimblettes à l'anis. Au dehors des fêtes, appréciées pour finir les repas, nous trouvons les gimblettes au vin, les tartes au sérac ou aux griottes et, "dulcis in fundo", tous les gateaux préparés avec les noisettes des Monts Cimini, surtout les "Tozzetti", qui, trempés dans vin de dessert DOC, l'Aleatico di Gradoli, peuvent constituer une digne clôture de cette revue de la Cuisine de la Tuscia.

Pour finir, nous voudrons rappeler nos vins DOC. Le plus connue est sans doute le Est! Est!! Est!!! de Montefiascone, qui s'harmonise très bien avec les hors-d'œuvres et le poisson, spécialement celui de lac; en puis, l'Orvieto Classico, produit en part dans la province de Viterbo, un vin de table universel, la variété délicatement moelleuse plus légère, la variété seche avec une légère trace d'amer. L'Aleatico di Gradoli, du bouquet précieux de rose musquée, avec la variété liquoreuse du goût moelleux, se prête magnifiquement aux desserts à base de gateaux secs; le dernier dans la liste, le Vignanello, vin de table typique, a reçu seulement récemment l'appellation DOC.

Parco dei mostri di Bomarzo

Les Jardins de Bomarzo sont les jardins les plus extravagants de la Renaissance italienne. Ils se composent d’un parc boisé, situé au fond d’une vallée dominée par le château des Orsini, et peuplée de sculptures grotesques et de petits bâtiments répartis au milieu de la végétation naturelle. Bomarzo est un petit village d'Italie situé près de Viterbe

Le Duc de Bomarzo Vincino Orsini donna à ce jardin non pas le titre de jardino, mais de Bosco Sacro, Bois Sacré ou Bosco dei Monstri, Bois des Monstres. Il faut entendre monstre dans le sens du latin monstrare, ce qui montre et démontre.

Tous les Princes d'Italie sont venus le visiter ainsi que d'innombrables voyageurs étrangers.

Dans son parc de Bomarzo, le Comte Orsini (fin 16e siècle) fit donc sculpter des sculptures gigantesques et parfois monstrueuses, dans la pierre qui affleurait.

D'une esthétique grotesque en sculptures, composées de statues colossales faites à même le roc qui évoquent d'obscurs récits rapportés dans le poème épique d'Ariosto, "Orlando Furioso". Le fait que les monstres soient taillés à même le roc, ils créent l'illusion d'une métamorphose naturelle où les limites de la pierre et de la chair, du végétal et de l'animal, du naturel et du construit, sont insolemment brouillées. Il a été construit entre 1548 et 1580, suivant une mise en scène théâtrale des différentes parties du jardin. Au gré d'une agréable promenade, on découvre tantôt la bouche ouverte d'un ogre dans laquelle on pénètre, tantôt des sirènes à double queue, un éléphant, une maison penchée, etc... Des statues géantes représentant des créatures monstrueuses et des animaux, une maison penchée ou encore des fontaines et des jeux d'eau: tout cela fait le charme et le mystère des Jardins, dont plusieurs interprétations ont été proposées.