Histoire de la ville 



Fondé il y a deux mille ans par Auguste, qui y rassembla ses troupes pour surveiller les frontières de l'Italie du Nord, Turin était à l'époque un centre militaire entouré de remparts et au plan carré, d'après la configuration du "castrum" romain. À l'intérieur des ancien murs, la structure urbaine demeura pratiquement intacte durant plusieurs siècles, pendant la domination des Lombards et des Francs et pendant tout le bas Moyen-Age, lorsque la ville fut Mêlée aux faits institutionnels complexes entre la suprématie épiscopale et une autonomie communale précaire avant que les Acaja ne consolident leur contrôle sur la ville. Il faudra attendre le XVe siècle, lorsque le duc de Savoie réunit toutes les provinces du Piémont sous sa férule administrative et politique, pour assister à l'essor de la ville de Turin, élue capitale du duché. 

Dans la première moitié du XVIe siècle, la ville, impliquée dans le conflit entre les Françaises et les Habsbourg, consolide son propre système de défense en se dotant de bastions angulaires. Ces travaux se poursuivent pendant la longue période de l'occupation française (1536-1557). Le duc Emanuelle Filiberto, après avoir repris possession de ses territoires à la suite de la victoire remportée lors de la bataille de Saint Quintin et du traité de Cateau-Cambrésis (1559), élite Turin nouvelle capitale de l'Était de Savoie. 

Bien que la politique du gouvernement privilégie la reprise économique, productive et culturelle de la ville, d'après le modèle des grandes capitales européennes, les ressources disponibles sont essentiellement affectées à la réorganisation stratégique de l'État, afin de l'adapter aux nouvelles techniques de siège et de défense. L'architecte Francesco Paciotto, né à Urbin, se voit confier la tâche de restructurer les forteresses médiévales et de faire démarrer les travaux de construction de la Citadelle, une structure fortifiée en forme d'étoile, dont la porte principale, appelée "Mastio" (donjon), est toujours visible. 

Le renouvellement de la ville ne dépasse donc pas le stade du projet. Les interventions se bornent à un nettoyage superficiel de la ville, qui garde toujours sont ancien configuration. Seul exemple de mécénat artistique de l'époque, l'évêque Domenico Della Rovere appelle en 1498 un architecte de l'Italie centrale pour la construction du Duomo di San Giovanni, l'un des rares témoignages turinois de la Renaissance. 

Le duc porte également une grande attention aux territoires qui s'étendent en-dehors des remparts de la ville. Le projet du Parc Royale du Viboccone, dans la zone nord-orientale de la ville, remonte à la fin du XVIe siècle et comporte la construction d'édifices et de jardins. C'est probablement de ce parc que Torquato Tasso, qui séjourna à Turin entre 1578 et 1579, s'inspira pour écrire certains vers de sa "Gerusalemme Liberata". 

La volonté de renouvellement urbaniste et architectonique de la ville, affirmée par Emanuelle Filiberto, ne se concrétise qu'avec son successeur Carlo Emanuelle I (1580-1630), qui confie à l'architecte Carlo Castellamonte la réalisation du première agrandissement en direction sud de la ville carrée. Cette première phase du plan d'expansion de Turin est à l'origine de la configuration qui en fait une ville ordonnée, aux tracés orthogonaux caractérisée par une architecture linéair, rigoreuse, voire austère. Piazza San Carlo, "coeur" de ce développement, est un des exemples les plus élégants de ce goût architectonique. 

Dans la partie la plus ancienne de la ville, notamment Piazza Castello, les édifices publics prennent l'aspect que nous leur connaissons aujourd'hui. Le Palais Royal est bâti sur les ruines de l'ancien Palais Episcopal. Palazzo Madama, où s'élevait jadis l'ancienne porte Praetoria romaine, puis le château de la famille d'Acaja, s'enrichit en 1718 d'un avant-corps et d'un escalier d'honneur, dessinés par Juvarra. Vers la fin du XVIIe siécle, Guarino Guarini réalise quelques-uns parmi les édifices les plus prestigieux de Piazza Castello: l'église de San-Lorenzo et la Cappella della SS. Sindone (chapelle du sacré-linceul), dont les coupoles animent et allègent l'élégance un peu sévère de la place dessinée par Vittozzi. 

A côté des nombreux témoignages architectoniques du pouvoir ducal, la construction en 1659 de l'Hôtel de Ville offre l'image d'une individualité urbaine qui s'oppose parfois à celle de l'États. 

Si d'une part, ces dernières décennies voient les grandes transformations urbanistes et architectoniques, la ville de Turin, d'autre part, doit faire face à une période très tourmentée du point de vue social. En 1630, une épidémie de peste sévit dans la ville, en décimant sa population. Les survivants ont laissé des témoignages émouvants de cet événement dramatique dans la chapelle votive et sur la plaque commémorative de via Cardinal Massaia. 

Entre la fin du XVIIe et le début du XVIIIe siècle, Turin ne cesse de se développer, d'après le programme de rationalisme urbaniste favorisé par les ducs et réalisé à travers les projets des architectes de cour, auxquels l'on doit les deuxièmes et troisièmes agrandissements de la ville. 

Au cours de ces décennies entre deux siècles, la ville doit affronter une longue période de guerre, qui aboutit en 1706 au siège des Français, rompu par l'arrive des troupes autrichiennes alliées et le sacrifice héroique accompli par Pietro Micca dans les galeries souterraines de la Citadelle. La Basilique de Superga fut érigée entre 1714 et 1717 en signe de gratitude pour la victoire remportée. Son projet fut confié à Filippo Juvarra. 

Vittorio Amedeo II, devenu roi à la suite du traité de Utrecht (1713), s'engage à consolider sa monarchie absolue, en réorganisant l'armée, les structures gouvernementales et bureaucratiques, en accordant à la bourgeoisie davantage de pouvoir dans la gestion de l'administration, tour en limitant l'emprise de la noblesse et du clergé sur la vie économique. 

Le renouvellement des fonctions administratives, politiques et militaires est à l'origine de la création de nouvelles institutions, telle que les Secrétariats d'États et de Guerre ou le Conseil d'États. Le roi donne des dispositions précises pour l'organisation des Archives de Cour. De nouveaux palais accueillent les Quartiers Militaires et les Secrétariats d'Etat, dont l'aile donnant sur la piazzetta Reale s'élargit jusqu'à incorporer l'Académie Militaire. 

Dans le domaine économique, l'on assiste à un série de transformations, notamment sur le plan de l'organisation du travail et de l'apprentissage. Des documents royaux témoignent d'une volonté précise de réglementer l'ensemble des activités commerciales de la ville, surtout en matière de flux des marchandises et de prix. A titre d'exemple, citons Benedetto Carpano, l'inventeur du vermouth, qui symbolise l'esprit entrepreneurial de l'époque. 

Au cours du XVIIIe siècle, dans le cadre de l'activité de reconstruction de l'États entreprise par Vittorio Amedeo II et ses successeurs, il y a lieu de rappeler le développement de l'instruction et, plus particulièrement, de l'Université de Turin, fondée au XVe siècle. 

L'athénée turinois est transféré dans un nouveau bâtiment (via Po) et c'est justement Vittorio Amedeo II qui délibère sa transformation de structure libre à institution de l'Etat. 

Dans l'ancien siège de l'Université, qui accueille aujord'hui les secrétariats des facultés, de nombreuses plaques commémorent les professeurs qui se sont succédé sur les chaires les plus prestigieuses. Dans le domaine tant littéraire que scientifique, la recherche et l'enseignement revendiquent d'illustres personagges. Au n.29, via Lagrange, une plaque indique l'habitation de Giuseppe Luigi Lagrange, l'un des plus grands mathématiciens du XVIIe siècle. Toujours dans le domaine culturel, de nombreux intellectuels de l'époque partagent les même opinions réformatrices et éclairées. Via Alfieri, au coin de Piazza San Carlo, il y a maison où Vittori Alfieri habita pendant cinq ans et où il écrivit ses premières tragédies. 

En 1792, le Règne de Sardaigne de Vittorio Emanuelle III entre en guerre contre la France révolutionnaire qui annexera le Piémont quelques années plus tard. Les quinze ans d'exil de la dynastie piémontaise ajoutés aux conséquences de la domination française sont à l'origine d'un nouvel ordre politique qui influence positivement le rôle de la bourgeoisie et la propulse aux premiers échelons des activités politiques et administratives. Mais l'union du Piémont à la France s'avère plutôt néfaste pour l'économie piémontaise. Simultanément, une nouvelle phase de développement urbaniste s'amoche avec la décision de Napoléon d'abattre les murs d'en centrer entourant la ville a fin de mieux l'adapter aux exigences d'un nouveau système de guerre de mouvement. Cette décision sera à l'origine d'agrandissements ultérieurs de la ville dans les décennies futures ; si ces derniers remaniements continuent de garder le plan géométrique des rues propre au XVIIIe siège, ils décrètent la désaffection d'un plan urbaniste trop rigidement programmé. Le premier Bourg appelé, Nov, construit sur ce modèle, est commencé entre 1822 et 1829. Le fleuve Pô fait partie du tissu urbain en tant que trait d'union entre la place du XIXe siècle consacrée à Vittorio Emanuelle I et l'église de la Grands Madré, érigée en signe de gratitude par le corps décisionnel pour le retour de ce même souverain en 1814. 

Arrivent ensuite les années de la restauration, au cours desquelles la volonté de remettre en place tous les aspects caractérisant le règne de la période antérieure à la domination française se traduit par un net retour aux constitutions royales de 1770 avec l'abolition du code napoléonien et là re confirmation de la législation contre les différentes professions de foi. Encore une fois, les intellectuels de l'époque recoquilleront et exprimeront, chacun a sa manière, le malaise de la société piémontaise face aux retombées politiques et culturelles propres à la restauration : les érudits et les savants de l'époque, tels Giovanni Plana, Amedeo Avogadro, Amedeo Peyron; montrèrent, chacun a travers sa propre sphère d'intérêt culturel, une attention marquée pour la situation politique et sociale de leur temps, qui couvait alors la rébellion manquée de 1821. 

L'écrivain Silvio Pellico qui, de la collaboration assidue au journal libéral "Il Conciliatore" passa à un comportement plus intimiste dans la rédaction de "Le mie Prigioni", écrite dans sa demeure de via Barbaroux, restera emprisonné pendant de longues années au Spielberg. 

Le renouveau tant sollicité, bien que modéré pour un "rajeunissement" de la vie administrative, juridique et économique, trouve un appui en la personne de Carlo Alberto. Aux changements politiques et institutionnels occasionnés par la concession du Statut en 1848, participèrent des hommes politiques tel Federico Sclopis, Luigi Des Ambrois, Ottavio Thaon di Revel. 

L'économie sort des à léthargie grâce à la politique de Cavour et à la croissance du système productif qui oriente l'industri vers le groupement d'usines et vers une organisation du type capitaliste. Par ailleurs, la promotion de l'initiative privée invite les propriétaires terriens à spéculer en quelque mesure dans le secteur du bâtiment : la construction des barrières de l'octroi de 1853 représente un élément circonscripteur de l'expansion indiscriminée du bâtiment. 

Tout comme les siècles précédents, les actions de charité faites en faveur des besoins sociaux (assistance aux pauvres et aux malades), continuent dì'être aux mains des organismes de bienfaisance et des initiatives religieuses ou privées. La Piccola Casa della Divina Provvidenza, fondée par Giuseppe Cottolengo en 1831, poursuit encore de nos jours la philosophie philanthropique de charité et de volontariat qui était à l'origine de sa création. 

Parmi les nombreux encouragements à l'encontre de la floraison de la culture, dont cette première moitié de siècle se veut l'instigatrice, le domaine des arts bénéficie d'une attention toute particulière. Le sculpteur turinois Carlo Marocchetti est l'auteur du célèbre "Caval'd brons", un des symboles de la ville peut-être aussi cher aux cours des Turinois que la Mole Antonelliana. Le première guerre d'indépendance de 1848 interrompt ce moment de ferveur culturelle et artistique, et se fait entendre dans l'hymne national de Mameli, sur les notes musicales du "maestro" Novaro, commémoré sur la plaque de via XX settembre. En cette période de guerre, la ville se souvient d'un autre nom : celui du général Alessandro Lamarmora, fondateur du corps des Bersaglieri. 

Après la défaite de Novare et la ratification du traité des paix avec l'Autriche (1850), Turin assume un rôle culturel et politique à l'échelle nationale et atteint son point culminant en 1861 lorsqu'elle est choisie comme capitale avec la proclamation de l'Unité d'Italie. 

L'Italie unifiée a des besoins industriels et commerciaux nécessitant le réaménagement du réseau de distribution des matières premiers et des marchandise sur tout le territoire ; le chemin de fer, très utilisé, accélère le développement et l'agglomération urbaine. Le terminus du réseau ferroviaire, en plein cœur de la ville s'affirme, avec la construction de la Gare Centrale de Porta Nuova, comme exemple de solutions architectoniques d'avant-garde où les exigences esthétiques et fonctionnelles se fondent harmonieusement. L'architecture de cette époque est orientée vers l'emploi expérimental de nouveaux matériaux, comme le fer et le verre, permettant des réalisations audacieuses et jusqu'alors avec la fantaisie conceptuelle d'un architecte, jette un défi aux nouvelles tendances avec la construction de la Mole Antonelliana, en démontrant qu'il est possible d'utiliser la maçonnerie traditionnelle pour ériger des édifices au plan singulier. 

Pendant cette période, l'essor industriel repose impartie sur la recherche et les découvertes dans le domaine scientifique, notamment dans le secteur pharmaceutique : Ascanio Sobrero fut l'inventeur, avec Nobel, de la nitroglycérine, mais ne sut jamais prévoir son utilisation sur les champs de bataille ; en revanche, l'application de son invention dans le domaine de la médecine lui vaut la peine d'être rappelée. 

Cette étape historique, profondément marquée par la brève période de Turin à la ville de Florence, Turin traverse un passage à vide, et ce, aussi bien dans la vie sociale et économique que dans la vie politique et culturelle. La ville ne reprend du souffle qu'au cours des vingt dernières années du siècle à travers la naissance des premiers grands groupes industriels, les fonderies, les industries textiles et métallurgiques et à travers l'industrie du bâtiment qui s'affirme entant que nouveau pôle de développement. Ainsi, la ville entre de plein pied dans sa première période industrielle ramifiée dans plusieurs directions : les plaques commémoratives n'oublient ni Galileo Ferraris, le plus haut personnage de la culture scientifique-industrielle, ni Francesco Cirio, le "roi des conserves" (représenté dans une singulière plaque style art nouveaux), qui enseigna aux agriculteurs italiens de "nouveaux commerces, de nouvelles voies, de nouveaux marchés". 

Dans le domaine de l'instruction et notamment de l'édition pour l'enfance, voici deux personnages emblématiques de la tradition turinoise : Edmondo De Amicis et Emilio Salgari: sur la plaque de la maison donnant sur corso Casale, où il vécut dans une "pauvreté affligeante", un des voiliers qui peuplèrent ses nombreux romans d'aventures y est représenté sculpté. 

Frédérique Nietzsche est rappelée par on bref séjour intense à Turin (entre 1888 et 1889); dans une de ses lettres, il trace le portrait de notre ville en mentionnant deux de ses aspects fondamentaux, "la paix aristocratique" et le "goût unitaire qui s'étend jusque dans la couleur". 

Le parcours des événements et les transformations qui ont forgé la ville à travers la lecture des plaques commémoratives déviant de plus en plus ardu avec l'arrivée du XXe siècle, à cause du changement de l'état d'esprit qui se manifeste dans la mentalité des Turinois. Pour eux, les événements ne sont guère plus que des étapes fonctionnelles vers un développement futur et ne représentent souvent qu'un mauvais souvenir à ne plus répéter : les conflits à l'échelle mondiale, le fascisme, les sacrifices pour la libération du Pays. 

L'industrie profite énormément de l'éclatement de la Première Guerre mondiale, notamment dans le secteur de l'automobile : la marque Fiat rappelle un grand nombre d'ouvriers qui passe de 4 000 effectifs en 1914 à 40 000 effectifs en 1918. C'est au cours de ces années que Fiat réalise la construction des usines du Lingotto, une des premières réalisations de l'architecture industrielle du début du XXe siècle. 

Les années de la deuxième guerre mondiale sont déchirées dans le conflit opposant les différents courants d'intervention et de non-intervention : Cesare Battisti est l'un des nombreux personnages engagé dans la lutte pour la défense des valeurs nationales contre la domination étrangère, que la plaque de la rue homonyme n'oublies pas. À l'Hôtel de Ville, on peut lire gravé dans le marbre le Bulletin de la Victoire signé par le Commandant en chef de l'armée italienne Armando Diaz. 

Sur le plan culturel, les premières décennies du vingtième siècle donnent naissance à un véritable cercle de penseurs et d'intellectuels qui dicteront les théories de la naissance des mouvements de syndicats et de la lutte ouvrière. La plaque de la place Carlina commémore Antonio Gramsci, fondateur de "Ordine Nuovo" et de "L'Unità", en tant que "guide pour la liberté et le socialise, forgeur du Parti communiste". Piero Gobetti, que l'on associe souvent à Gramsci, s'oppose, dans sa brève existence, au fascisme en herbe à travers ses nombreux écrits et les revues qu'il a fondées. 

Mais le Turin de cette époque est aussi la ville crépusculaire et lyrique des poètes : -Guido Gozzano- "chanta la ville de Turin avec la tendresse affectueuse de ses vers". 

Turin est aussi la patrie de personnages qui laisseront des marques profondes dans le domaine musical : Alfredo Casella qui fuit l'un des premières musiciens en Italie à ressentir le besoin d'un renouveau de la musique instrumentale. 

L'écrivain Cesare Pavese reste le symbole contradictoire de l'engagement politique et du malaise existentiel ; c'est une figure emblématique de  Turin sortant de la période dominée par Gobetti et c'est l'un des plus grands écrivains italiens de notre siècle. 

Le régime, transformé en véritable dictature, frappe aussi le quotidien "La Stampa", fondée par Alfredo Frassati, pendant longtemps bâillonné à cause de ses orientations nettement rangées du côte de l'opposition. Ce sont des années de durs combats : les incursions des brigades fascistes donnent lieu à de véritables carnages. Celui des 18 décembre 1922 est rappelé sur les plaques, notamment sur la place qui lui est dédiée. A la Gare Centrale de Porta Nuova la plaque n'oublie pas les déportés qui, de là, partirent en wagons blindés vers les l'agers et les camps de concentration nazis tes. 

Turin fut une des villes les plus antifascistes de l'Italie, mais c'est au cours de la deuxième guerre mondiale que la Résistance prend la forme d'un véritable mouvement organisé jusu'au moment culminant de la Libération, célébra l'attribution de la médaille d'or à la ville qui, "pendant 19 mois opposa une vive résistance à l'oppression par son dédain des flatteries et sa rébellion aux menaces". 

La période de l'après-guerre laisse la ville exténue, luttant contre la famine, la pauvreté, le chômage et les effets dévastateurs des bombardements. En cette pénible époque de reconstruction, Fiat dirigera l'économie de la ville en la transformant en capitale du travail. 

Depuis les années 50, l'industrie de la métallurgie mécanique turinoise consolide son hégémonie en pénétrant sur le marché international. Le centenaire de l'Unité d'Italie, en 1961, fournit le prétexte à la célébration de la poussée économique : dans l'ensemble architectonique dénommé, Italia 61, sur la rive gauche du Pô, surgissent des édifices hautement conceptuels, parmi lesquels le Palazzo del Lavoro de Pierluigi Nervi et le Palazzo a Vela de Annibale et Giorgio Rigotti. 

L'essor industriel voit surgir un flot de forte immigration et le développement cahotique de la ville fait tache d'huile. De nouveaux quartiers apparais sente comme La Falchera, Lucento, le Vallette, pendant longtemps véritables cités-dortoirs qui étaient conçus à l'origine comme des centres urbains autosuffisants. 

Les années 70 sont les années de plomb de la révolte et du terrorisme : après une longue période de silence, où rien n'est apparemment digne d'être mentionné, les noms des nouvelles victimes des "années de plomb" viennent s'ajouter au nombre de plaques citadines, dont celle consacrée au Procurateur de la République Bruno Caccia, tué dans le guet-apens de 1983, qui nous rappelle que Turin a souffert sous la violence et les brimades de la criminalité organisé. 



Rejoindre Turin par : train | avion | voiture | bus

Rejoindre Turin par train

Turin, pour ce qui concerne le transport ferroviaire, est une importante plaque-tournante nationale et internationale. Les principales gares de la ville sont les suivantes:

Porta Nuova 

corso Vittorio Emanuele II, 53 - plan 

tel. +39-011532427

Porta Susa 

piazza XXVII Dicembre, 8 - plan 

tel. +39-011538513

Lingotto 

via Pannunzio, 1 - plan 

tel. +39-0113173897 



Stazione Dora 

Piazza Baldissera - plan 

tel. +39-0112217835 

Pour plus d'informations sur trains et horaires consulter le site Internet www.trenitalia.com (en anglais). 

Compagnie ferroviaires étrangères liées directement avec Turin :

Trenes Talgo Trans-Pireneos - Salvador Dalì (en anglais) (Espagne)

Artesia (France) 



Rejoindre Turin par avion 



Aéroport International de Turin "Sandro Pertini" 

Strada San Maurizio, 12 - Caselle Torinese (TO) 

Tel: +39 0115676.361 / +39 0115676.362 

Fax: +39 01156765.420 

Horaires: de lundi à dimanche de 06:00 à 24:00 

L’aéroport est situé à 16 kilomètres de distance du Centre-ville. 

Pour toute information sur les liaisons aériennes avec les destinations italiennes et étrangères, les compagnies aériennes et les horaires de vol, nous vous invitons à visiter le site officiel de l'Aeroporto Internazionale "Sandro Pertini" di Torino (en anglais), mis à jour 24 heures sur 24, en temps réel.

Liaisons Aéroport-Ville et vice-versa

Service d’autobus : 

Un service d’autobus lie l’aéroport avec la Centre-ville. La durée du parcours de et vers l’aéroport est de 40/50 minutes environ. 

L’arrêt de l’autobus dans l’aéroport se trouve au niveau «Arrivi» (Arrivées), en face de la sortie vols nationaux/UE. On peut acheter les billets au kiosque à journaux (en salle «Départs»), au guichet automatique (salle «Arrivées», niveau «Vols nationaux /UE»), ou à bord de l’autobus. 

L’arrêt de l’autobus dans la Ville se trouve auprès la Gare ferroviaire Porta Nuova, au carrefour entre Corso Vittorio Emanuelle II et via Sacchi. Les billets peuvent être achetés auprès des bars avoisinants à l’arrêt ou à bord de l’autobus. 

Les bus sont gérés par la société SADEM (en italien), sur le site de laquelle on trouve les informations détaillées concernant les tarifs, horaires, billets. 

L’autobus s’arrête aussi à la gare Porta Susa. 

Service ferroviaire: 

L’aéroport est doté d’une gare et d’une liaison ferroviaire avec la ville, terminus : la Gare Torino Dora. 

La durée du parcours est de 20 minutes environ. 

Sur le site GTT (en italien) sont disponibles les informations sur les trains qui lient l’aéroport avec la ville et vice-versa, et sur les points de vente des billets. 

Service de taxi : 

La station de taxis autorisés de l'aéroport se trouve au niveau «Arrivé», devant la sortie des vols nationaux /U.E. 

La durée du parcours pour rejoindre le centre de Turin ou vice-versa est de 30/45 minutes environ. 

Si vous arrivez a l'Aéroport de Milano Malpensa, consulter les informations suivantes. 

Rejoindre Turin par voiture

En auto Turin est une excellente destination, parce qu’elle est située au cœur de l’Europe, très bien reliée avec les principales villes européennes à travers un réseau de communication qui s’épand sur toute la Région du Piémont, dont Turin est la capitale, et occupe une position centrale. 

Les voies principales d’accès en ville sont distribuées sur les points cardinaux, en garantissant, en entrant et en sortant, un trafic continu et rapide. 

Liaisons autoroutières :

Società Autostrade (en anglais)

Tangenziale (plan) (autoroute de dégagement)

A21 Torino-Piacenza (en italien)

A4 Torino-Milano (en italien)

A6 Torino-Savona (en italien)

A32 Torino-Frejus (en italien)

A5 Torino-Ivrea (en italien) 

Liaisons routières :

N.10 Padana Inferiore 

(Torino-Moncalieri-Alessandria-Piacenza-Cremona-Mantova-Monselice)

N.11 Padana Superiore 

(Torino-Chivasso-Vercelli-Novara-Milano-Brescia-Padova-Venezia)

N.20 Del Colle della Maddalena 

(Torino-Borgo San Dalmazzo-Confine Francese del Colle)

N.23 Del Colle di Sestrieres 

(Torino-Stupinigi-Pinerolo-Sestrieres-Cesana)

N.24 Del Monginevro 

(Torino-Susa-Cesana-Monginevro-Francia)

N.25 Del Moncenisio 

(Torino-Collegno-Susa-Moncenisio)

N.26 Della Valle d'Aosta 

(Torino-Chivasso-Ivrea-Aosta-Piccolo San Bernardo)

N.27 Gran San Bernardo 

(Torino-Aosta-Gran San Bernardo)

N.10 Padana Inferiore verso la Liguria 

(Torino-Alessandria-Novi L.-Genova) 



Rejoindre Turin par bus

Pour le territoire national et international, les départs et les arrivées des grandes lignes d’autobus ont lieu à l’arrêt de bus de Corso Inghilterra et aux gares de Porta Nuova et Porta Susa. 

Le service de bus qui relie la Centre-ville avec l’aéroport Torino-Caselle part de la gare de Porta Nuova et Porta Susa. 

Pour l’aéroport Milano-Malpensa (en italien) les autobus partent et arrivent à l’arrêt de Corso Castelfidardo. L'autobus s'arrête aussi à la gare Porta Susa. 

Portrait 



Turin de la Rome Antique, Turin première capitale d’Italie, Turin grand pôle industriel : chaque époque lui a donné une identité propre dont on reconnaît l’expression dans le patrimoine culturel, architectural et monumental de la ville et dans le visage qu’elle offre à présent. 

Aujourd’hui, Turin tourne ses regards vers l’avenir et devient le lieu de rencontre de cultures différentes ainsi qu’un espace privilégié pour le développement de nouvelles technologies et de nouveaux domaines de production : la métropole moderne qui a accueilli les XXe Jeux olympiques d’Hiver en 2006

Turin au jour le jour

Que se passe–t–il en ville ? Turin répond par une multitude de manifestations et de rendez–vous à ne pas manquer. De l’art à la musique, du théâtre au cinéma et au sport : Turin vibre, à chaque moment de l’année, à l’occasion de rendezvous, désormais incontournables, et de nouvelles manifestations. Un programme nourri de spectacles, de manifestations et d’expositions capables de susciter des émotions qui mobilisent tous les sens. 



Innovation

Turin vit aujourd’hui un processus de transformation unique en Europe. Parallèlement à la réhabilitation d’espaces historiques, ainsi le marché de Porta Palazzo, la Cavallerizza Reale, les Places San Carlo et Vittorio Veneto, commencent à prendre forme les grands projets qui donneront naissance au plan d’aménagement urbain du futur. La Spina centrale (l’Axe central), le Passante ferroviairio (le réseau urbain intergares) et la nouvelle gare de Porta Susa sont là pour témoigner d’un Turin qui change pour devenir une ville où il sera plus facile de se déplacer, d’étudier, de travailler et de créer de nouvelles entreprises.

Art et culture

Turin est une ville de culture où l’art n’est pas seulement dans les musées. La création littéraire et celle artistique envahissent ses rues et recouvrent ses murs. Turin est un des lieux les plus vivants, en Italie comme en Europe. La tradition applique en effet l’exercice constant de ce désir de beauté qui lui est propre dans ses écoles de danse, de théâtre et de design. Elle sait aussi miser sur les jeunes talents et sur une dimension plus expérimentale et moderne de la culture, au point d’être une des capitales européennes de l’Art contemporain. 

Cette ville, qui est à l’origine de l’Arte Povera, a inspiré l’exubérance des Futuristes et la fantaisie de Felice Casorati. Les galeries privées, les Fondations et les expositions permanentes y sont nombreuses, sans compter les différents musées : galerie d’Art moderne et contemporain, Château de Rivoli, Musée égyptien, Musée du Cinéma et Musée de l’Automobile. 

Les « Luci d’Artista » (Lumières d’artiste) enrichiront la ville avec les ouvrages lumineux des plus grands artistes internationaux en novembre. 



Nature

Photographiée du ciel, Turin a une couleur dominante : le vert. Plus de 17 millions de mètres carrés de verdure naturelle (18 mètres carrés par habitant), 300.000 fleurs cultivées chaque année sur les espaces verts et parterres publics, 400 kilomètres de rues et avenues bordées d’arbres avec plus de 60.000 plantes, 100.000 arbres dans les jardins publics et 70 kilomètres de parc le long des rives de quatre cours d’eau : un patrimoine dont l’étendue a été multipliée par quatre au cours des 30 dernières années. 

La nature a été généreuse avec Turin que jouxtent, sur le versant Sud, les très belles collines de Chieri et du Monferrato, et au Nord, l’imposant profil de l’arc alpin qui a permis l’attribution des XXe Jeux olympiques d’Hiver.

Design

Le style, à Turin, n’est pas seulement une caractéristique distinctive de la ville. C’est aussi le design, celui qui naît du crayon de Bertone, Giugiaro et Pininfarina pour faire voir le jour à de magnifiques automobiles, domaine dans lequel œuvrent également les jeunes créateurs de l’École Polytechnique et de l’Institut européen de Design, sans compter plus d’une centaine d’entreprises qui opèrent dans le secteur du design industriel. 

Une contamination entre dessin et objets qui passe à travers la tradition d’architectes tels que Carlo Mollino, Annibale Rigotti et Andrea Bruno et qui permettra à Turin d’être la première ville italienne à organiser, en 2008, le Congrès mondial des Architectes. 



Goût

La cuisine turinoise est riche de saveurs irrésistibles et de spécialités pour les gourmets. Entrées, truffes et 

Charcuteries. Mais aussi, viandes, fromages, pâtisseries, chocolat et nougat. Le tout accompagné de vins qui comptent parmi les meilleurs d’Italie, exceptionnels par leur qualité et leur diversité. 

La gastronomie turinoise est le fruit d’un terroir généreux et d’une grande tradition qu’il est possible d’apprécier aujourd’hui dans les restaurants les plus raffinés et dans les piole, établissements qui appartiennent au passé et où l’on respire encore les arômes et les parfums du Turin d’autrefois. 



L’apéritif 



Le moment de l’apéritif est un plaisir, un rite turinois par excellence. Une habitude qui remonte à la fin du XVIIIe siècle, pour la précision à 1786. C’est cette année-là qu’Antonio Benedetto Carpano entame la production du Vermouth : un vin particulier, aromatisé à l’aide d’herbes et d’épices qui trouvera sa place dans la tradition sub-alpine, conjointement à d’autres marques prestigieuses telles que Martini&Rossi et Cinzano. Aujourd’hui, le Vermouth représente une alternative aux vins et aux cocktails, accompagné d’amuse-gueule de toutes sortes. 

Le moment de l’apéritif peut également être l’occasion d’un en-cas de pâtes, de riz, de charcuteries et de fromages typiques du Piémont ou encore de plats multiethniques. 

Le rendez-vous, c’est avant le dîner dans l’un des innombrables établissements des différents quartiers : sous les arcades du centre-ville, dans le Quadrilatero Romano ou sur les rives du Pô, aux Murazzi. 



Les acteurs de la table 



La cuisine turinoise offre une grande variété de plats et de saveurs. Pour commencer, les hors-d’œuvre : du veau en sauce au thon aux anchois en sauce verte, des charcuteries aux flancs de légumes. Le tout à savourer avec les célèbres grissini dont existent deux variétés : le stirato et le rubatà. 

Puis les entrées : les agnolotti al plin”, assaisonnés d’un jus de rôti ou de beurre fondu et sauge, ou bien les tajarin, traditionnelles pâtes piémontaises aux œufs, à agrémenter de fines lamelles de truffes blanches d’Alba. 

A suivre, deux classiques de la tradition : la friture panachée et la bagna caôda. La friture panachée associe avec audace le sucré et le salé. La bagna caôda est quant à elle un plat de la tradition paysanne : une sauce à base d’huile, d’anchois et d’ail dans laquelle l’on trempe des légumes crus et cuits à l’eau. 

Le menu des spécialités comprend également les viandes – pot-au-feu et bœuf braisé – et les fromages : robiole, tome et tomini. 



Les vins

Le vin a écrit l’histoire des collines, des fermes et des bonnes tables du Piémont. La tradition viticole est forte de rouges célèbres dans le monde entier : du Dolcetto et Barbera, excellents pour accompagner les entrées, au Nebbiolo, Barbaresco et Barolo, parfaits pour les viandes rouges. 

Les blancs ne sont pas en reste  ainsi, le Cortese, le Roero Arneis, le Gavi ou l’Erbaluce  à boire au moment de l’apéritif ou pour accompagner des plats de poisson. Aux desserts, se marient les rosés tels que la Malvasia et le Brachetto ou les incontournables Muscat et Spumante.

Dessert

La capitale du chocolat offre une infinité de desserts : le bonèt, à base de cacao et amaretti, en est assurément le prince. On peut citer aussi la savoureuse tarte aux noisettes ou à la gianduia, ou encore les traditionnelles pêches farcies. Pour finir et pour accompagner le café, un chocolat ou un gianduiotto.

Cafès historiques

“Que dit-on ce matin dans les cafés?” Pour s’informer sur la situation politique, le Roi Victor-Emmanuel II posait souvent cette question à ses conseillers les plus proches, parce que l’histoire d’Italie s’est en partie écrite dans les cafés de Turin. Cavour fréquentait régulièrement le Café Fiorio, Massimo DAzeglio, Giolitti et Einaudi étaient quant à eux des habitués du Baratti&Milano, tandis que De Gasperi aimait se reposer au Café Torino. Alexandre Dumas était un habitué du Bicerin (le bicchierino ou petit verre), Guido Gozzano fréquentait les salles Art Nouveau du Mulassano et le Platti était l’établissement préféré de Cesare Pavese. 

Aujourd’hui encore les cafés historiques font partie intégrante de la vie et de la culture de la ville, ils sont une étape obligée pour goûter les pâtisseries piémontaises dans une atmosphère unique faite de style et d’élégance. 



Turin la nuit 



Turin a une âme nocturne. En début de soirée, l’incontournable rite de l’apéritif, dont les Turinois sont les inventeurs : une passion faite de cocktails à base de vermouth, autre orgueil de Turin et de grands vins qu’il est possible d’apprécier dans les cafés historiques et dans les nouveaux bistrots à vin de la ville. La movida turinoise part des Murazzi del Po, se déplace dans les rues du centre historique, pour arriver Quadrilatère Romain, à Porta Palazzo et aux Docks Dora. Et deux fois par an, les Nuits Blanches remplissent les rues de la ville jusqu’à l’aube. 



Museo Museo Museo 



La GAM présente dans les espaces de Torino Esposizioni, un grand édifice consacré aux expositions situé dans la zone du parc du Valentino, une sélection de plus de 250 œuvres d’art contemporain acquises par la galerie au cours des huit dernières années. A ces œuvres s’ajoutent celles achetées pour le Musée par la Fondation CRT, la Fondation De Fornaris, en plus de quelques donations. 



Les grandes installations, parmi lesquelles Il fiume appare de Mario Merz, Mnemosine – Le Charme de la vie de Giulio Paolini, Blind cities de Pedro Cabrita Reis, sont accueillies dans la grande salle réservée aux salons qui occupe une superficie d’environ 10.000 m2 et qui a été spécialement aménagée pour cette occasion. 



L’exposition a pour but de faire connaître au public le résultat des politiques d’enrichissement du patrimoine artistique du musée de la Ville, en effectuant une sélection des œuvres les plus importantes qui se sont ajoutées au patrimoine déjà existant, qui dépasse maintenant 40.000 unités (tableaux, sculptures, photos, dessins, installations et vidéos). 



Les œuvres exposées documentent un laps de temps d’un demi-siècle, à partir des années 50, comprenant un riche ensemble de tableaux et de sculptures acquises en large partie par la Fondation CRT, qui seront exposées dans l’aile courte du premier étage de la GAM, tandis que Torino Esposizioni accueillera les œuvres des années 60 à nos jours ainsi qu’une sélection des collections d’art vidéo et de photographie. 



Une arène réalisée dans le salon central accueillera pendant les trois mois de durée de l’exposition des conférences, des débats et des projections de documentaires sur les artistes dont les œuvres sont représentées par cette exposition, documentaires appartenant à la riche collection de documentaires sur l’art contemporain que le musée a constituée depuis peu. 



www.gamtorino.it 



Patinage libre au Palavela 



Un hiver très amusant vient donc de commencer pour tous ceux qui aiment le patinage. Outre l’ Atrium Ice Plaza de Piazza Solforino, où il est possible de patiner en plein air au pied du monument équestre à Ferdinando di Savoia, deux autres pistes ouvrent à Torino en constituant ainsi deux nouveaux points de repère pour le sport et le temps libre. 

Le 6 novembre est entrée en fonction la piste n° 1 au Stadio del Ghiaccio, située Via San Remo 67. Les horaires sont les suivants : le mardi et le jeudi de 14 h à 16 h et le samedi de 9 h 30 à 11 h 45. 

La Piste olympique du Palavela, par contre, sera ouverte au public vendredi 15 décembre à 18 h 30 lors de la présentation de la Mascotte de l’ Universiade de Torino2007. La piste, après avoir accueilli dans la soirée la Crazy For You Night et le patinage libre de 21 h à 24 h, sera à la disposition de tous les patineurs jusqu’au 7 janvier, date qui marque le début de l’Universiade d’Hiver de Torino 2007. 



Numéros utiles 



Souvenez-vous: si vous appelez avec un téléphone mobile avec une carte sim non-italienne, vous devez composer 0039 ou tout simplement +39 avant le numéro affiché.